Entre le Pakistan, le Kazakhstan, l’Ouzbékistan, le Kirghizstan, la Mongolie et la Russie, se trouve le Xinjiang, avec ses minorités ethniques et ses paysages à couper le souffle.
Voyage sur la route du Karakorum, je vous emmène aujourd’hui dans des lieux magiques…
Sur la route du Karakorum (ou Karakoram, les deux se disent)
De l’autre côté, le Pakistan
Une mine au milieu de la montagne
Plaine du Xinjiang
Habitats Ouzbeks
Marchand ouzbek sur le bord de la route
Visage buriné par les vents
Les yacks au bord du lac
Lac tranquille sur la route du Karakorum
Yourtes mongoles
Minorité mongole nomade
Code de la route au Xinjiang 😉
Le lac Karakul, perché à 2 000 mètres d’altitude
Paysages splendides d’une nature préservée
Les rares véhicules croisés sont de lourds camions transfrontaliers
Bergers mongols
Et au plein milieu, une porte chinoise, pour bien montrer qu’on est en Chine. L’entrée du lac est payante si on passe par cette porte (qui donne sur un restaurant.. chinois! et non mongol ou ouzbek)
A lire aussi :
Route de la soie, Xinjiang
- Turpan, oasis sur la route de la soie
- Jiaohe, ancienne capitale du Xinjiang
- Le Minaret d’Emin
- Les Monts Flamboyants
- Touyougou, La Mecque du Xinjiang
- Promenade solitaire dans les ruelles de Kasghar (première partie)
- Kashgar, joyaux de l’Asie Centrale (2ème partie)
- La vieille ville de Kashgar, dernière visite avant destruction
- Là où les Hans sont en minorité
- Le marché aux animaux, première partie
- Le marché aux animaux, deuxième partie
impressionnant! c’est bluffant!
😉 LOL Magnifique! C’est un appel à l’évasion. Quelle pureté tant du ciel que des sommets…
Superbe, évidemment ! Ca me rappelle des souvenirs (de la semaine dernière !)… La Karakorum Highway, c’est incontestablement une des routes les plus « scéniques » que j’ai jamais prises…
Waaaaaaaaaaaa!!!!!!!!!!
Est-ce que le ciel peut vraiment être aussi bleu?!
On doit se sentir tout rikiki face à une telle immensité, splendeur, … Ouais, bon, je crois que ce n’est pas la peine que j’essaye de trouver des mots, les images suffisent…
2 petites questions:
– Tu as campé là-bas? (je n’imagine même pas le ciel étoilé, la nuit venue)
– Comment se fait-il qu’il y ait, sur la photo de la grande porte chinoise (derrière laquelle il y a un lac et un restau), des choses écrites en arabe sur la banderole rouge?
De retour 🙂
Je me disais bien que certains paysages, certaines sensations, me rappelaient quelque chose: les parties montagneuses, la couleur du sol, des montagnes… J’ai cherché et j’ai trouvé une carte de cette route, qui se rapproche énormément de l’Afghanistan en même temps qu’elle rejoint le Pakistan.
Ce que ça me rappelle, c’est un film magnifique, très fort, si tu ne l’as pas vu, je te le conseille vraiment (hyper) fortement: « Le cahier » (ou « Buddha collapsed out of shame »). Je pense qu’il se déroule dans cette partie de l’Afghanistan proche de la route du Karakorum.
@Mira
Welcome back !
Je n’ai pas campé là bas, car c’est assez difficile dans ces coins là de faire du camping sauvage (les Chinois arrivent pour te demander une taxe) et en plus, il faisait assez froid et je n’étais pas équipé…
Pour l’arabe, comme je le dis dans un article précédent, en fait, c’es tdepuis Deng Xiaoping que le ouïghour s’écrit en caractères arabes. Mais la langue ouïghoure n’a aucune origine sémique. Elle s’écrivait autrefois en caractères latins, favorisant l’apprentissage de l’anglais pour cette minorité (reconnaissance plus facile des caractères anglais comparés aux Chinois qui avaient les sinogrammes).
Pour empêcher les Ouïghours d’être meilleurs en anglais que les Han, le gouvernement a changé leur écriture pour augmenter la difficulté 😉