J’en avais parlé dans cet article, cela a traîné, pardonnez moi, voici enfin quelques photos de Kuala Lumpur (KL comme on dit 😉 ) prises en juin dernier
Bonne ballade…
J’en avais parlé dans cet article, cela a traîné, pardonnez moi, voici enfin quelques photos de Kuala Lumpur (KL comme on dit 😉 ) prises en juin dernier
Bonne ballade…
Je ne sais pas vous, mais moi qui vis en Chine depuis 2 ans, parfaois je me dis que j’ai perdu en très peu de temps tous les rudiments d’éducation que mes parents ont mis pourtant plus de 20 ans à m’inculquer…
Cependant,
C’est grave docteur ?
Et vous, qui vivez en Chine depuis longtemps, comment vivez vous ce que je viens de décrire ?
On le sait, la sexualité des Chinois est bien différente de la nôtre.
Au-delà du fait qu’il n’y a jamais eu en Chine, à la différence de l’Europe, de pressions religieuses sur le sexe (sauf pendant la période Mao même si elle n’était pas religieuse), les Chinois ne reçoivent pas à l’école d’éducation sexuelle, et le développement de l’Internet ouvre une « bouffée » imaginative très forte.
La prostitution, présente notamment dans les saunas, utilise déjà de nombreux appareils plus fous les uns que les autres, mais là, il s’agit carrément d’un hôtel dans la province autonome du Guangxi qui vient d’ouvrir dans le but de fournir tous les accessoires aux couples qui veulent s’amuser.
Bien-sûr, officiellement, ce sont pour des couples, en réalité, on peut se demander s’il ne s’agit pas là d’un véritable bordel, maison close d’un nouveau genre car l’ouverture a été annoncée en grande pompe dans la presse chinoise..
Une chambre d’hôtel pour les adultes dans Nanning, dans la région autonome du Guangxi le 6 novembre. L’hôtel a attiré beaucoup de clients avec chacune des chambres meublées d’un lit rouge avec des sangles, un ballon géant, et différents accessoires.
Cependant, le propriétaire est un peu inquiet, son hôtel pourrait être perçu comme une maison close.
Pardonnez moi ma « non rédaction » de ces derniers jours, mais je n’arrête pas de me déplacer entre Shanghai, Canton et Pékin, et ai peu le temps d’écrire, alors que ce ne sont pas les idées qui manquent, bien au contraire.
Ce jour, je vous propose les pieds mutilés (ou pieds bandés)
Mais si, vous connaissez, même Tintin en parle ! Cette tradition qui veut que dès leur naissance, on bande les pieds des filles, dans un intérêt purement esthétique.. Voici donc une série de photos prises en Chine il n’y a encore pas longtemps.
Dans la série, je passe mon temps à regarder des DVD d’auteurs Chinois, je voudrais Summer Palace (Une jeunesse chinoise) de Lou Ye. Présenté au Festival de Cannes en 2006, censuré en Chine et son réalisateur interdit de tournage pour 5 ans, ce film raconte la vie amoureuse de deux étudiants pendant les années 1988-89.
Voici le synopsis du film
Deux jeunes amoureux vivent une relation d’amour-haine, complexe et érotique, dans un pays soumis aux troubles et à l’instabilité politiques. La belle Yu Hong quitte son village, sa famille et son fiancé pour étudier à Pékin. Elle y découvre un monde d’intenses expériences sexuelles et affectives et tombe follement amoureuse d’un autre étudiant, Zhou Wei. Leur rapport tourne au jeu dangereux alors qu’autour d’eux, les étudiants commencent à manifester, exigeant la démocratie et la liberté.
Continuer la lecture de Une jeunesse chinoise (Yihe Yuan), de Lou Ye
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Vous l’avez déjà sans doute lu, mais je tiens à en parler malgré tout.
J’avais commencé par son deuxième roman (qui n’est pas la suite du premier) Caprices de Chine , que j’avais reçu comme cadeau de Noël par mes parents. Bouquin qui n’est ni un essai, ni une étude, rien qu’un roman, une suite d’histoires, mais tellement bien senties, remplies d’anecdotes, de termes et d’expressions chinoises qu’on ne peut, une fois commencé, s’arrêter de le dévorer. Mais j’en parlerai plus tard.
Cette fois, dans, le train qui me ramenait de Shanghai à Pékin hier, je l’ai lu d’une traite, sans m’arrêter, même debout dans le couloir en fumant ma cigarette Zhong Nan Hai (中南海), tellement c’est fort et puissant.
L’auteur, Stéphane Fière (je ferai un article sur lui prochainement), se met à la place d’un mingong (un paysan ouvrier migrant), et raconte comment il atterri à Shanghai, un froid matin d’hiver, avec son père, pour devenir esclave sur l’un des chantiers multiple de Shangai.
Continuer la lecture de La Promesse de Shanghai, par Stéphane Fière